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On parle souvent du premier jour du collaborateur, rarement de celui du manager. Et pourtant… c’est un moment charnière. Nouvelle équipe. Nouveaux codes. Nouveaux enjeux. Et une question qui revient en boucle :Comment trouver ma place, sans brusquer l’existant ? 1- Observer avant d’agir. Durant les premières semaines, le meilleur réflexe n’est pas de “changer” mais de comprendre : - Qui fait quoi ? - Qu’est-ce qui fonctionne ? - Quelles sont les zones de tension ou d’énergie

Comment faire face à une surcharge émotionnelle quand on est manager ? Ce n’est pas toujours la charge de travail qui épuise. C’est la charge émotionnelle. - Les réunions où il faut “garder la face”. - Les tensions à apaiser entre collaborateurs. - Les décisions à prendre sans tout maîtriser. - Les émotions qu’on ravale pour “tenir le cap”. On encaisse, on temporise, on soutient… Jusqu’au jour où l’on se surprend à ne plus avoir d’énergie émotionnelle pour personne. Et là, le

On oppose souvent gentillesse et exigence ! Comme si le manager devait choisir entre être empathique ou solide, doux ou clair, équitable ou ferme. Pourtant, les meilleurs managers que j’ai croisés avaient trouvé un équilibre subtil. Ils savaient écouter sans se laisser déborder. Dire non sans humilier. Soutenir leurs équipes, même dans les moments d’inconfort. La gentillesse sans exigence mène à l’indulgence. L’exigence sans gentillesse, à la peur. Le management, ce n’est pas